trankil et gay

Duo beurs.

                           
                           
                           

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Petit sondage, trankil.

A la fac, je me retrouve souvent avec un pote que je trouve super sympa. En plus il est bo, en fait, il a qu'un défaut: il kiff les meufs. On va souvent manger ensemble, on a fait des randonnées en montagne et on se dit pas mal de choses personnelles. Je sais qu'il adore la baise mais qu'il est assez frustré dans ce domaine, surtout qu'il a une fantaisie très très cochonne. Il s'appelle David. 

Cet été, il faisait pas mal cho ce jour-là, et il m'a demandé si j'avais envie de l'accompagner à la piscine. J'ai tout de suite accepté, ptit vicieux moi, pour au moins deux raisons: pas de refus une petite détente et la flotte pour se rafraîchir et, deuxio, le mater presque à poil, voire à poil dans les vestiaires.   

Les vestiaires, justement, on y arrive. Endroit ombragé, juste des bancs, sinon du béton, fait un peu frais et y a une odeur d'été frais, mélangée à nos propres odeurs, aie aie, l'endroit rêvé pour une baise d'enfer entre mecs.... 

Je vire vite mon short et mon t-shirt et mes skets, sors mon speedo bleu marine, me tourne vers lui, baisse mon slip et enfile le speedo, en me prenant le temps pour ranger toute la marchandise. Lui fait la même chose, apparemment un peu gêné que je le regarde. Il sort un grand boxer qu'il s'apprête à mettre. Je lui dis: "Kestu veux avec ce pyjama? Si tu veux chauffer les meufs, faut mettre un truc un peu moulant..." Je farfouille dans mon sac et je sors un speedo assez petit, jaune. Je le lui tends: "Tiens, essaie-ca, ca t'ira super bien". Il l'enfile, proteste: "putain, ca fait trop pd, chui hyper moulé, c'est moche". Je lui dis: "Pas du tout, c'est ca qu'elles veulent voir, attends, je t'aide à mettre ça en ordre" je m'approche et veux  intervenir dans son pacson mais il refuse et le fait lui-même: je craque grave mais je reste sagement à ma place. Il est super bo comme ca, il se range les boules et une fois que tout est en place, on prend nos affaires et on sort. On est pas super bronzés mais juste ce qu'il faut. J'ai vu que sur la pelouse, c'est vers l'est qu'il y a le plus de gens, surtout des meufs, alors je l'attire vers l'ouest où c'est plus isolé et où il y a surtout les terrains de beach-volley, argument imparable car lui comme moi, on adore le volley. On pose nos serviettes et notre bordel et on s'élance dans la piscine où on passe un long moment.  

         

Arrive le moment où l'on sort de l'eau et où on s'étend sur l'herbe pour se faire sécher par le soleil. On est les deux sur le ventre, moi je le mate, super excité par le petit creux de son dos, juste avant le slip sur ses deux fesses. Il dort ou il fait semblant de dormir. J'avance mon bras et, comme si de rien n'était, je le touche juste de mon index sur sa peau, sur le côté, un peu en dessus de son slip de bain. Il frémit, s'éloigne (je soupire intérieurement) puis, à ma grande surprise, revient à sa place, le contact est rétabli. Ok, il fait semblant de dormir. Mon doigt continue sa course sur sa peau et arrive sur le bord de son slip. Puis je continue sur son slip, direction ses fesses. Là je le caresse du bout de tous mes doigts. "Putain, tu fais quoi?" il me dit. "Y a plein de monde". Je me dis, tiens, y a progrès, il refuse plus tout net. Je lui demande, tout doucement: "Kestu penses des homos?". Réponse nette: "Rien à fout'". Je lui réponds: "Tu sais que les homos baisent environ 2 x plus souvent que nous parce qu'ils n'ont pas de meufs qui refusent de baiser?" Ensuite, je risque une belle amitié: "J'imagine que ça doit être assez cho de baiser entre potes quand les meufs veulent pas". Pas de réponse, j'ai fait une touche. Je repose mon doigt sur son slip, juste à l'endroit de sa raie. Je la suis de bas en haut. Je refais de même mais now j'appuie beaucoup plus..... et le petit salaud écarte imperceptiblement ses jambes.

         

La suite dés demain!


                 


Ca va, t'es un peu chaud? Alors je continue...

Ce barman, il l'est, chaud.

Petite tenue.

         

                   


Fiers de leur teub.

             
             
              
             
             


       


Un black, un white, un lit. 24'14.

                      

Je te laisse. On se voit 2main?

Merci pour avoir répondu au sondage. Les résultats lundi prochain.

                                                   

BIG KISS
DAVE

    


Diaporama. Belles tofs en noir et blanc.

Retrouves-les, et bien plus, dans le "Top N§B" du Top des Tofs.


    


Suite de "l'histoire sans nom". 

La journée interminable, tu la connais? Ca commence par un examen général les deux premières heurs puis par des cours chiants mais importants pour le reste de la journée jusqu'à 18h, bien sur, c'est mon tour de prendre les notes pour les potes. Puis métro, bus et marche à pied sur la colline, la ville qui s'étend dessous. Il fait déjà nuit noire et ce moment-là, il pourrait être romantique, rêveur mais pas du tout: je m'en passerais volontiers. Je suis éteint, déprimé et je passe près de la "tannière aux minets" mais ça me laisse froid. Au milieu du long bout droit qui mène à mon studio surgit soudain un cycliste, sans phares, c'est clair!!

         

Il me passe à côté, assez rapidement, je continue mon chemin et le vélo fait demi-tour et s'adapte soudain à ma vitesse, à côté de moi. "Salut", c'est une petite voix tendre, sport, très sympa avec quand même un bon bout de timidité. Je tourne la tête, m'arrête, tente de distinguer quelque chose, puis je le reconnais: Laurent, l'accompagnateur de mon ptit mec à tâches de rousseur. Son visage est tellement beau, surtout quand il sourit, timidement, mais on le voit, sincèrement: "J't'ai fait peur? Trop déso!" Je me remets à marcher: "Non, non, c'est juste inhabituel de croiser quelqu'un ici". Silence, on entend sa chaîne, on entend mes pas, la nuit profonde, les petits caillous qui crissent sous les pneus et les semelles. "Heu......", il commence en ne sachant pas par quel bout emmancher la discussion, "tu sais l'autre soir, j'pouvais pas rester pisk y avait ton copain...". "Tu sais, c'est pas mon copain, c'est juste un pote". Sa voix prend de l'assurance et avec empressement, il continue: "Tu sais, il m'a dit que je pouvais faire ca la premiere fois avec un mec qui avait l'habitude de prendre de l'argent pour ca...". Ouais, ben là, j'ai de la peine à encaisser le choc: mon Amour, qu'as-tu fait de moi?? Mais très vite, autre chose m'interpelle: "La première fois?" je lui demande.
 
         

Y fait nuit et je peux rien voir, mais je vois en entendant la modulation de sa voix qu'il rougit comme une tomate trop mûre: "Ben ouais, j'avais jamais enculé, c'était trop top". Putain, trop cho ça et mes démons se réveillent immédiatement, ça bouge là en bas. "Ok, et là, tu passes par hasard?" je le demande en reprenant ma marche. Apparemment, je l'ai semé un petit bout de temps et le revoici en selle à coté de moi: "Tu serais d'accord de passer la soirée avec moi?" Hmmmm, trop bon, j'ai trop envie de dire vite oui mais je temporise: il faut savoir se faire désirer. "T'sais, je veux bien être ton copain". Là je m'arrete, lui aussi, sa barre de vélo entre les jambes, je m'approche de lui: je le fixe dans les yeux qui brillent dans la nuit: tout doucement, très proche de lui, je lui dis: "ok" et je lui souris: il s'avance vers moi et on se file une pelle tendre. Je sens sa salive, fraîche, poivrée, désirable et je la lui suce pour la boire. Il gémit, se libère et me dit: "T'aimes quoi?" Je lui réponds: "Moi je kiff les maillots de bain, le lycra, les slips et sinon tout et toi?" Il me répond, naïvement: "la baise". Je lui dis de venir dès qu'il voit de la lumière dans mon studio en passant par la fenêtre. Il accepte. Je rentre et j'ai bien fait de prévoir le coup, la proprio passe le balai dans la cour à la lueur d'un spot. Elle n'a pas d'autre moment pour balayer?  

          

J'allume la lumière chez moi et je vais ouvrir ma fenêtre: 10 secondes plus tard, il enjambe la fenêtre et se retrouve chez moi. Gueule d'ange (comme moi lol), cheveux bruns assez foncé, fringues assez chic. Il sent grave bon, un bon ptit parfum de pd, hmmmm cette odeur avec son odeur personnelle mélangée: putain, je me suis encore fait avoir: sa petite rencontre, c'était prémédité, ca me fait bander direct de penser qu'un petit lycéen me coure après....woaw. 

Je lui dis: "Ecoute, j'ai besoin d'une douche. Après, on se fait une petite bouffe?". Il est d'accord et me demande juste d'allumer mon portable pour, dit-il, consulter ses mails. Je m'exécute puis vais me doucher. Déception, aucune intrusion, pas de porte qui s'ouvre, rien. Je me sèche puis glisse à poil dans mon jean, je sors de la sdb juste en jeans, sinon rien, cheveux mouillés. Je m'arrête devant ma kitchnette, j'ouvre un placard et je le regarde. Il est assis, jambes pliées l'une sur l'autre, en lisant, en vrai tapette, sur l'écran. Je le kiff trop comme ca. "Tu veux manger quoi?" Il soupire et se lève, s'approche de moi, me mets sa main sur la fesse, regarde le placard, puis me regarde de ses yeux noirs profonds: "toi?" et le voici qui me refile une pelle en caressant mon dos nu, puis mes têtons, puis mes fesses, il se love contre moi et on sent mutuellement nos pines raides dans nos frocs.
 
         

Je me libère la bouche, brièvement: "Hmmmmmm moi j'ai faim, rien mangé" mais déjà il me culbute sur le lit et se couche sur moi en continuant de me sucer la langue. J'en fais de même. Il devient de plus en plus chaud, incontrôlable. Je tente de lui faire entendre raison. Il baisse la garde et accepte que je prépare les spaghs dans l'eau. Pendant que je m'active à la kitchen, je jette juste un oeil par dessus mon épaule: il vire sa chemise classe. Je souris pour moi et reprends mon travail. Quand je pose la casserolle prête sur la plaque de cuisson et après avoir réglé sur 10, température maximale, je me tourne vers lui et............j'avoue qu'il me scie, c'est net. Il est à poil, assis sur les genous, sur mon pieu, juste au coin avant droite. Sa pine est fine et longue, comme tu le sais déjà, et elle mouille très fort. Il a posé ses mains sur l'arrière de ses fesses, se cambre et s'offre comme s'il était à l'avant de la calandre d'une tire.

La suite hot, c'est pour 2main!
 

    


Vidéoà télécharger. "Au bord du lit". 19'01.

2 keums trankil ki commencent "gentillement" au bord du lit pour finir "fougueusement" dessus.

Téléchargement avec : 


    


Quelques minets isolés pour toi tout seul. 

Retrouve les tous avec leurs potes dans le "Top des tofs".


    


Allonges-toi.

    
    
    
    
      

Wouaaaaaaaaaaa, fait chaud!

    


Il se commence tout seul, mais il est vite rejoint...20'20 

Si tu vois pas la vidéo, clik sur le

    


N'oublies pas la suite de "l'histoire sans titre" demain. Trés 

N'oublies pas d'aller mater les blogs de mes potes, ça vaut trop le coup!

N'oublies pas d'aller bosser.

N'oublies pas de te brosser les dents et de te laver le ....

Kiff the life.   

BIG KISS
DAVE

  


Ils sont bien mignons. Clik dessus pour agrandir.

            
            
       
      


    


J'aime les dunes.

Apparemment, enculer en position arrière couché, c'est sa position favorite. je sens son odeur, produit de douche, parfum et sa transpiration. A part, de temps en temps: ah oui, hmmm, il ne dit rien, moi je me tiens trankil, faut absolument éviter trop de bruit car les proprios m'ont interdit les visites féminines (sans rire, lol) alors s'ils nous entendent trop gemir..... je trik a mort, je vais a la rencontre de sa pine quand il décule, je prends mon pied grave, après quelques minutes, il gemit de plus en plus fort, moi je sens son pieu grandir encore et devenir encore plus raide, mon jus monte aussi mais je tente de lui dire de pas crier trop fort...... mais en fait, il gueule super sexe en lachant son yop en moi. Puis il continue a me limer en nous tournant d'un quart de tour pour se retrouver sur le côté. Now il est super tendre, me pine tout doucement en restant raide et me branle. Abandonné, empalé sur sa queue, je jouis en geysir comme je n'ai jamais autant joui. Voilà, on se retrouve vannés, heureux, vidés, a poil sur le sol de ma sdb. Il decule et me la montre: tu la veux? Je lève un sourcil mais lui dis non, alors que j'en meurs d'envie. Il se marre, se leve, se rahbille puis se penche vers moi, encore par terre: pourquoi j'aurais pas dû gueuler en jutant? Comme un blaireau, je lui dis: à cause des proprios.... Il rit, me dit: ah oui, cool ca, tu sais que t bonne toi? allez ciao et il s'en va, à nouveau par la fenêtre. Et moi, bien obligé de constater que je me suis fait baiser!!! c'est moi qui avais envie de son cul.......... Je rebande, je me leve et vais me coucher sur mon lit. La je me branle une seconde fois, j'hésite, j'ecarte les jambes et me mets mon doigt. Je le resors bien gluant de yop de ce ptit keum qui s'appelle Etienne. Je déguste, plusieurs fois, puis je yop tellement je suis excité. 
            

Quelques jours plus tard, au début de la nuit, environ vers 23h00, je dors déjà, et même profondément. Après quelques frustrations chaque soir, quand je rentre de la fac, que je suis chaud, je cherche ma petite face à taches de rousseur mais apparemment, les keums ont déserté la lisière. Je me rends compte que j'ai grave le béguin pour Etienne, je le kiff grave mais pas seulement, tout son être me fascine. Bref, ca ne se simplifie pas: je suis amoureux. Je disais donc que je faisais mon ptit reve du fameux séminaire que je dois suivre mais auquel il est impossible de s'inscrire, et pourtant c'est vachement urgent, demain matin 8h00 dernier délai d'inscription sinon tu peux recommencer tout le cursus.... bref (tu connais?) je roupille peinard quand on toque à ma fenêtre. Comme je n'entends rien, on toque plus fort. Ce coup-ci, je me réveille, reprends mes esprits, me lève et m'arrête de suite, avec mon rêve, j'ai la trik raide sur le ventre, je dors à poil, merde je peux pas ouvrir comme ca. Mais ca s'impatiente: putain, ouvre Julien, sinon je gueule. Bon, ok, suppppppperrrrrrr!! C'est Etienne, je glisse les rideaux, j'ouvre la fenêtre: sal.......... Etienne me saute contre, suivi par un deuxième mec, très jeune aussi. Il me prend direct la tete pour me filer une pelle. Tu penses si j'ai envie et je la lui rends baveuse en me collant contre lui. Après la pelle, il me pousse violemment sur mon lit. L'autre, petit de taille, super joli visage, se désaque rapidement. Je suis sur le dos et Etienne se penche sur moi et me mettant la main au cul. Tendrement, il me fait lecher deux de ses doigts. Je lui obéis volontiers, en lui souriant et en le regardant dans les yeux, puis il me les sort de la bouche pour me les mettre.....

            

Je m'ouvre et soupire, ma trik mouille et son pote finit de se mettre à poil. Il est pas assez musclé à mon gout mais il a une queue très fine et très longue. Il se branle en nous regardant. "Etienne, il est trop jeune". Il décule ses doigts et me saisis violemment les burnes, je crie: aie. "Fais moi pas iech avec ton histoire d'age, mec, il me dit, brutal. C'est un de mes potes de foot, il a 17 ans". "He, Etienne, je peux now?" Il lui répond: "ouais, vas-y, prends ton pied Laurent". Le ptit keum se poste à genoux entre mes jambes, je leve les cannes puis, maladroitement, il me penetre. Il commence à m'enculer et je me laisse juste faire, en regardant mon bel Etienne. Celui-ci se leve et se desaque à son tour. Je kiff un max, il est super craquant. Il enjambe le lit et....vient s'asseoir sur ma gueule. Mon rêve! Je commence à le lecher. Et ca continue comme ca quelques minutes. Soudain, Laurent, en continuant de me niquer, commence à gemir. Il dit à Etienne, comme à un grand frere: "Oh, je vais jouir". Etienne se leve et s'approche de Laurent, il lui file une pelle et Laurent se décharge en moi en gémissant, étouffé par la pelle d'Etienne. Je sens la sensation bizarre et pourtant si sex de son yop en moi. Etienne et moi, on reste bandés alors que Laurent décule et viens se reposer à coté de moi. Quelques minutes de calme plus tard, Laurent se leve et se rhabille. Je le mate et comprends pas mon bonheur de baiser avec ces deux minets. Etienne, a poil, se leve aussi et intercepte Laurent avant qu'il ne sorte par la fenêtre. Il lui dit: "Et mec, il est ou le billet?". Je me lève direct, étonné, et vois Laurent filer un billet à Etienne. Il s'en va et Etienne dépose son billet dans son jean. "Putain, c'est quoi ce délire, il te paie..... mais c'est moi qu'il vient de........". Mais je n'arrive pas à finir ma phrase, il me chope a la gorge et aux couilles et me fait me recoucher.......

La suite trés bientôt, si tu veux bien.


                    


Vidéo à télécharger. 19 mns 18. "Le dortoir".

Ils sont trois, y'a plein de lits à leur disposition, mais ils en veulent kun! Va comprendre...

Téléchargement avec : 


    


Un gourmand ki se contente pas de gouter. Je le dis pas à chaque fois, mais le bareback est une pratique à risque pour la santé.

    


Et si on mettait un peu de....poil dans la vie!

    
    
    
    
    


    


Mais k'est-ce k'on deviendrait sans les gars de la maintenance? 16'30.

    


Petites gourmandises, trankil.

         
         
         
         
         


    


Voilà pour ce mardi ki commence ou ki fini en fanfare!

Dis-moi si elle te plait l'histoire, je transmettrai à Julien.

Pour tes contributions (tofs, vidéos ou tout simplement idées d'articles), n'oublies pas mon mail, tout en bas!

Sois Trankil, et kiff the life! 

BIG KISS
DAVE