trankil et gay

Salut les keums!

Bonne fête gaytan!!!!

Il fait trop lourd aujourd'hui, ça va péter dans pas longtemps! C'est génial, on va tous gambader nu sous la pluie, dans une vaste prairie, foulant les coquelicots rougeoyant, enlaçant les troncs d'arbres avant de symbioser avec mère Nature qui s'offre à nous... .

Euh, je crois qu'il faut que j'arrête le déca, je pars en couille là!

Je vais te raconter un truc ke j'ai fait ce week-end, et ke j'avais plus fait depuis....euh, j'sais plus!

Mais avant, dans la série medley, je te propose ça :

 En fait, j'suis allé récupérer mon frangin qui revenait d'Antibes samedi aprèm à la gare, tout prés de chez moi, pour le ramener jusqu'à chez lui. J'ai tellemment peur d'être à la bourre, qu'évidemment, je suis confortablement en avance, un bon quart d'heure. C'est pas plus mal, j'avais une envie de pisser, comme à chaque fois où tu pars trop vite de chez toi.            
Direction les toilettes publiques grâce aux panneaux indicateurs.
Evidemment, c'est payant. Je fous mon petit € dans la fente (ils se font pas chier quand même!) et j'entre. C'a beau être payant, ceux qui sont chargés du nettoyage sont pas des grands furieux! C'est pas plus mal, y'a de la lecture sur les murs. Debout devant la cuvette, j'ai vu une inscription, comme il y en a tant d'autres. Mais celle-là, j'sais pas pourquoi, elle m'attirait :
"JH 25a tous week end 21h arche 115"
Je ressors des chiottes, trankil, mais avec cette "annonce" dans la tronche. Je ramène mon frérot chez lui.
                     
Aprés un bref apéro, je rentre chez moi, toujours omnubilé par ce message. Je m'installe devant l'ordi, et j'arrête pas de regarder ma montre. Ca bouillonne dans ma tête : "21h...21h...21h... . j'suis trop con, ça doit être un petit merdeux qui a écrit ça... et même, y'a pas de date... on a pu le marquer y'a 3 mois, ou 6, ou 2 ans!!" 
J'savais pas koi faire. Et tout en ne sachant pas, je m'habillais pour aller faire un tour...

L'arche 115, c'est un tunnel pietonnier presque à l'abandon qui passe sous la voie ferrée et la gare routière. Je le connais plutôt l'hiver comme abri pour SDF. Je me présente devant une des 2 entrées. Elle est à peine éclairée par les néons de la rue. J'ai l'impression qu'au centre la nuit l'emporte pour s'ouvrir à nouveau sur les lights tamisés de la rue en contre-bas. 

 J'ai vu une silhouette qui se dégageait vers le fond. Je m'avance dans le tunnel, sans hésitation, mais quand même sur mes gardes. Aprés la partie obscure du centre de l'arche, je retrouve un semblant de clarté tout en découvrant la silhouette qui n'était plus qu'à un dizaine de mètres. Le mec était adossé contre le mur, les mains dans les poches. Arrivé à sa hauteur, je me retourne vers lui et lui dit :
- Bonsoir, vous auriez une cigarette?
La pénombre m'empéchait de le voir comme je voulais. J'imagine que c'était pareil pour lui. Je distingais juste un corps svelte, une moitié de visage qui reflétait ses 25 ans, et son bras gauche, musclé sec.
                          
- Non, je fume pas.
Décollant son dos du mur et faisant un pas en avant, il posa sa main sur mon entrejambe, sans autre discours. Il pressa et commença à me caresser.
- C'est bien ça que t'es venu chercher, non?
- Aucun problème.
Il a continué à me palper avec ardeur. Sa langue s'est mise à lécher mes lèvres que j'ai vite ouvertes pour sentir cette chair entourant la mienne. 
Ses mains fusent sur l'ouverture de mon pantacourt qui tombe à terre. Je bande comme un malade. Je le touche même pas. Sa langue fougueuse m'étouffe.
                    

Ses doigts agrippent mon shorty qui glisse le long de mes fesses au fur et à mesure qu'il s'agenouille devant moi. Aprés un bref passage dans ses mains, ma queue se retrouve enfermée dans sa bouche. Il est trop doué avec sa langue. Elle titille mon gland pendant qu'une de ses mains malaxent mes burnes et que ses doigts se glissent entre mes fesses.
Les yeux fermés, je goutais à mon plaisir.
Il se redressa et plongea à nouveau sa langue chaude dans ma bouche.
- Suce-moi maintenant, me dit-il à l'oreille.
Je me suis baissé à mon tour. Il tenait sa queue dans la main, bien raide, bien tendue, au moins 23, offerte. Je me suis mis à téter son bout, puis j'ai enfourné son calibre autant que je pouvais. Il a pris ma tête entre ses mains et a commencé à me baiser la bouche lentement. J'avais ses fesses bien fermes entre les mains, et mes doigts commençaient à s'immiscer dans sa rondelle chaude et mouillée. Ses gémissements étaient à l'unisson de mes râles.
                      
D'une pression de ses mains, je compris que je devais me redresser. Nos langues avides et humides fouillèrent nos bouches respectives goulûment.
- T'as des capotes? me demanda-t-il.
- Non, j'avais pas prévu!
- Ah merde, j'ai trop envie de me faire enculer.
- Moi aussi j'ai envie que tu me baises. On peut aller chez moi si tu veux.
Aprés une brève hésitation, il me dit qu'il aurait pas le temps.
- Branle-moi, me dit-il.
J'ai pris son beau manche encore chaud et gonflé par mes étreintes buccales dans ma main et je commençais à le masturber vigoureusement, ses doigts sur mon poignet me suggérant qu'il voulait se vider. Ses mains écartées mes fesses et ses doigts se glissaient sans difficulté dans mon antre mouillée. 
Je sentis simultanément son jus glisser entre mes doigts et mon foutre inonder ma main. C'était la libération suprême.

A peine nettoyés et reboutonnés, on s'est fait un gros smak.
-T'es là tous les week-end?
- T'as ka revenir, tu verras bien!!
Il est parti vers le fond, et j'ai quitté l'arche 115.

Voilà, tu sais tout de mon samedi soir. Excuse Al, ça doit pas être nickel!!
A ton avis, il sera là le week-end prochain, parceque je prévoyerai les capotes, c'est sur!
Bon, rien que d'y repenser, j'ai la quille.
Ca te branche de mâter une vidéo avec moi? Ouai? C'est parti! 4 mecs de l'Est bien montés, bien chauds...

A va toa? Moi j'suis vide!

Te dis à 2main, kom dab!!

                                                 Fais gaffe, j'ai les noms!!

BIG KISS.
DAVE