Le copain de fac

Vendredi 26 octobre 5 26 /10 /Oct 00:55

Le copain de fac

Tcho les copains!

Cool Graphics at iLLpic.com C'est vendredi.

Encore un petit effort, et c'est le week-end!!

En attendant, on va lire la suite des aventures de Julien, et ce mater quelques beaux keums.

Clip du jour. Chanson culte. Version intégrale.

Toto - Africa
envoyé par chilavert

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Ebène.

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Ca faisait longtemps que j'avais pas proposé un court-métrage. Celui-là, il est drôle en plus... L'arroseur arrosé! "Just one time" sous-titré.

Court metrage gay
envoyé par remy06000

Suite des aventures proposées par Julien. Du tout chaud! On le retrouve à la fac.

Je suis aux cours. C’est la pause. Je sors de l’amphi et discute avec des potes et des copines. Du week-end, de la reprise des cours, des nouveaux contenus. On se marre. Parmi le groupe, un Allemand qui s’appelle Ivo. Jolis cheveux blonds, visage allongé, lunette, très doux et bien sûr très sympa. Quel courage de suivre les cours en français à la fac !! Chapeau ! On rigole sur l’organisation des gouvernements des pays européens et je fais un gag sur l’antagonisme entre Bavarois et Prussiens. Je suis assez proche du mur de l’amphi et soudain, Ivo me met grave la main au cou, je recule, surpris, il me suit et me plante carrément contre le mur, sa main serrant mon cou, l’autre main me tenant mon bras droit. Il me fixe droit dans les yeux, petit sourire en coin, je suis sans défense, livré à son bon vouloir. Il me demande si j’ose répéter mon gag sur les Allemands. Moi je kiff trop cette situation.

C’est seulement un peu gênant, devant tout le monde. Mais il ne me lâche pas. « Alors ? Ca vient ? » Moi je me mets à triquer. Comme je réponds pas, il me fout son genou entre les jambes. Je sursaute et je lâche prise : « ok, ok, je retire tout ». Il me sourit, enlève son genou, me libère : ma copine se marre et nous dit : « alors, les grandes folles, on y va, boire un pot ? ». On se met en route en rigolant et Ivo vient à mon coté et me reprend la tête en passant son bras autour de mon cou, me tenant assez fort, ma tête contre lui, pendant qu’on descend. A la petite table de la cafét’ où on sirote notre café, on est redevenu sérieux mais Ivo et moi, on arrête pas de se fixer. Et de temps en temps, il déploie son sourire en coin, avant qu’il fasse fuir sa mèche blonde en soufflant dessus depuis en bas. Bref la journée se poursuit. Ce n’est qu’à la pause de 16h00 qu’Ivo passe vers moi alors que je mets mes notes au propre : « Tu viens dîner chez moi ce soir ok ? Je te donne mon adresse » et il me refile un papier avec son adresse. Comme j’hésite imperceptiblement, il me prend ma chemise au col et me tient fermement : « ok ? » Il me sourit, je lui souris en retour, avec la trik qui revient dans mon froc. « OK, quelle heure ? » Il me relâche et, super doux et tout gentil : « Dès que tu peux, au plus tard 19h ». On se met d’accord et on se quitte.

A la fin des cours, je quitte la fac, monte en ville, mets un moment à demander mon chemin puis trouve son immeuble. Il a son propre studio, n’habite pas en coloc. Par contre, l’immeuble, assez la déch mais bon, on roule pas sur l’or. Je trouve sa porte et je sonne. Il m’ouvre et je cherche ma respiration : il est superbe, avec survet gris, t-shirt, pieds nus et tellement super mignon. Il me dit de rentrer et m’amène direct à la cuisine. Là il en est encore à préparer le riz, coupe les oignons, les fait revenir dans la casserole. Puis le tout cuit tout seul. Je me suis assis et le regarde faire, on parle de tout et de rien. Il me dit : « Alors, mec, t’as déjà pieuté sur un lit à eau ?» Etonnement : « T’as un lit à eau, toi ? » Il me dit, c’est clair, viens. Et on sort de la cuisine pour arriver dans la pièce salon-chambre à côté. Un lit double. Il me dit : « Essaie ». Je m’assieds, prudemment et effectivement, le matelas est mobile. Je lui dis que c’est cool et lui demande ce que ça fait d’y dormir. Il me dit, « C’est cool ouais, j’aime trop, chui super détendu le matin. Par contre, je n’ai encore jamais baisé sur ce lit à eau ».

Je me marre, le regarde : « Et ta belle Hollandaise que t’as rencontrée à Amsterdam, juste avant la rentrée ? ». Il s’approche, ne répond pas et me dit : « Alors, tu préfères être Bavarois ou Prussien ? ». Je rigole, me mets à bander en me souvenant du matin : « Euh…… ». Soudain il me pousse et je me retrouve sur le dos sur le lit. Il vient me rejoindre et se couche sur moi, en me tenant les bras de telle manière que je puisse plus bouger. Mais de toute façon, j’ai pas envie de bouger, je me mets à triker grave à le sentir sur moi, me dominer à nouveau. Et lui franchement, doit sentir que je bande. Il me fixe profond : « Moi, je suis Prussien, ils savent super bien tirer, et toi, ben toi tu seras le Bavarois, ok ? » Il me sourit, moi je lui rends son sourire, il s’approche et vient me filer une pelle que j’accepte très volontiers. On se pelle, en silence, on se fixe, on sent les deux nos pines mutuelles. J’écarte mes jambes pour bien lui faire comprendre que je me soumets.

La suite, c'est pour 2main, avec la série des minets!

Vidéo à télécharger.

Je te gate trop en ce moment...va falloir que ça cesse!

"Turcs en chaleur". Un petit bijou de 40'36 en une seule vidéo!

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Les keums en Jeans.

Défilé de maillots. Tofs natures.

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Ils s'en passe des choses à l'armée... 17'30

Vu le peu de commentaires par rapport aux vidéos françaises, je crois que je vais arrêter d'en chercher!

Sinon, je te donne rendez-vous 2main pour un nouvel épisode de la série "Minets, t'as dis minets", avec la suite des aventures de Julien.