Samedi 27 octobre
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Tcho à tous!
Cool Graphics at iLLpic.com C'est samedi.
Tu le sais, le samedi, pas de blabla! Alors on démarre de suite!
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Uniforme.
Toutes les tofs sur 
Suite de l'"histoire sans nom". Julien est chez son pote de fac, et l'ambiance est chaude. Il est sur le lit à eau, empoigné.

Soudain, il se lève et sort. Je comprends : il sauve notre dîner en enlevant les casseroles du feu. Quand il revient, il me dit : « Debout,
désaque-toi » Il n’a rien besoin de dire de plus, je me lève et lui obéis : je vire mon pull, mon t-shirt, ouvre mon froc, me retrouve avec mon slip moulant jaune devant lui, enlève mes
chaussettes. Il s’approche de moi et comme le matin, me colle au mur en me tenant à la gorge. Il approche son visage, me fixe. Sa main libre (la gauche), je la sens sur mon slip, de côté. Soudain
il tire très fort et me ruine mon slip qui se déchire. C’est ainsi que je me retrouve à poil devant lui, bandé comme un toro. Il retombe dans l’allemand, il a soudain un air grave vicieux, plus du
tout le garçon charmant, tendre que je connais, mais le mec lubrique, vicieux, dominant, voire brutal : « Geiler Hund, Du », ce qui signifie qqch comme « Bonne
chienne ».

Putain, la chaleur, tu peux pas savoir. Il me lâche : « A genoux » Je m’exécute. Il baisse son survet et vire son t-shirt. Il est devant moi, en slip bleu foncé, sa bite et ses
burnes bien dessinées. Moi devant lui, agenouillé, bandé, je lève la tête, le fixe et lui dit : je te fais tout, je suis ton slave. « Hmmmmm, c’est bien, ça » qu’il me répond. Il
s’approche de moi, me prends les tifs et m’amène sur son pacson. Je le lui sniffe, le lèche, putain le pied. Après un moment, je remonte mes mains et commence à lui baisser le slip. Il se laisse
faire et dès qu’il est libre, me fourre sa pine dans ma bouche. Il me baise la bouche a fond, sans pitié. Je manque qqfois de m’étouffer. Au bout d’un moment, il me relève, me pousse contre le mur
où se trouve un siège permettant d’être assis sans se faire mal au dos. Je m’y assieds, il me fait avancer, me relève les cannes, il s’arque boute un peu, ajuste sa pine, je m’ouvre un max, il me
pénètre doucement. Surprise, j’aurais pensé qu’il me ménagerait pas mais il est super doux et fait bien attention à ce que j’aie pas mal. Une fois bien au fond du fion, il se met à me limer.

Et me met sa main contre mon cou et me tient contre le mur. Je bande à fond et je mouille comme un malade. C’est la même situation que ce matin à l’uni, sauf que là, il me baise vraiment. Il me
baise et me fait triker grave. Il continue à m’enculer en me tenant à la gorge. Je sens mon yop monter, je gémis de plus en plus fort. Soudain il me lâche, me prends la main droite et m’empêche de
jouir. Lui par contre, me pine de plus en plus vite pour finalement se planter au fond de moi en lâchant sa sauce. Il se couche contre moi pour me filer une pelle profonde. Il reste assez longtemps
dans mon cul et on s’embrasse comme des amoureux. Puis il décule. Stupeur, il s’agenouille devant moi et me demande de pousser. Ca me dégoûte, je lui dis : « non, arrête, c’est trop
dégueu ». Il se fâche, me saisit les couilles et commence à les tordre. Je me soumets direct, ne dis plus rien. Il me lâche et je m’ouvre pour vider son yop. Il le récupère et apparemment
l’avale. On se lève, je lui demande si je peux aller me doucher mais il refuse. Au contraire, il ouvre sa commode et sort une laisse. Il s’approche de moi pour me la mettre. Je trik avec la pine
sur mon ventre.

Elle mouille tellement que ça risque de tacher sa belle moquette. Il me met la laisse puis me précède en me tirant, direction cuisine. Là on s’assied à table, à poil et il prépare la fin du repas.
Je te passe les détails, mais c’était rudement bon. A la fin du repas, il m’ordonne : « Allez, débarrasse ». Il me tient en laisse et je débarrasse la table. Une fois celle-ci vide,
il me dit : « allez, couche-toi sur la table ». Je lui souris, m’installe, lève mes cannes et lui, rebandé, me monte direct. Je commence à m’astiquer aussi mais il me tient le bras
et m’interdit. Il veut voir ma pine raide et baveuse pendant qu’il m’encule. Tout en me niquant, il me caresse le torse, les jambes, les boules et surtout les cuisses qu’il semble kiffer grave. Il
décule même une fois pour s’agenouiller et venir me les lécher. Il me fait descendre de la table, sans un mot, juste en me tirant par la laisse et m’amène dans sa chambre. Là, il me fait mettre à
4patt, bien cambré et il me remonte, en position assise dans le vide, sa pine au fond de mon trou. Il me nique comme ça, trankil et m’ordonne de me branler, en précisant bien de lui dire quand je
viens. On continue un moment comme ça et toute cette aventure me plait tellement que mon yop monte, mes boules se durcissent, se contractent, ma pine raidit, l’ensemble de mon corps a la chair de
poule, je suis au top, c’est vraiment trop bon ….lorsque soudain, il me fait passer le bras gauche derrière le dos en accélérant de son coté son enculage.

Il m’empêche de jouir, je crie : « oh non, siteplait » mais il n’a aucune pitié. Lui par contre le sent monter aussi et me baise de plus en plus profond et rapide. Je n’arrête pas
d’avoir la chair de poule et soudain il gémit à fond en se lâchant dans mon cul. Je perds tout contrôle de mon corps et malgré son interdiction, mon cul donne l’ordre à mes boules de se
vider : je jute abondamment, en longs jets, sans même me toucher, je yop grave, c’est tellement bon que je me mets à chialer. Ivo décule, se met a genoux et viens me branler à fond la pine
pour me finir dignement. Ca me fait un bien énorme et je m’effondre sur son tapis taché de mon yop. Après une douche en commun, avec un Ivo tendre, doux, si sympathique et si bo, je me rhabille
(sans slip) et je repars après un petit bisou sur ses lèvres. Oh que c’est bon les lundi à la fac !!
La suite pour bientôt!
Bel Ami. 12'17.
Par clasdave
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Publié dans : Minets, t'as dis minets
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